Au risque de choquer certains, pour que l’enfant, la mère ou la famille toute entière ne meure pas sur un rivage, c’est bien ce long voyage qu’il faut éviter. La grande majorité des réfugiés se trouve aujourd’hui dans les pays limitrophes du pays quitté car tous espèrent, un jour, le retour. Ce ne sont pas des milliers mais des millions qui sont aujourd’hui au Liban, en Turquie, en Iraq, en Jordanie. Chaque jour davantage. Plus leur nombre augmente, plus les conditions de vie se péjorent pour eux et pour les habitants de ces pays d’accueil. C’est avant tout là-bas que de notre aide est nécessaire de toute urgence ! A l’instar des Emirats arabes unis et autres pays du golfe, notre gouvernement doit mettre nos moyens humains, techniques, logistiques et financiers de l’aide au développement à disposition de ces pays d’accueil.
Laisser un commentaire Click here to cancel reply.
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
Pas encore de commentaire.