Ca carbure pas vraiment à l’ombre des citernes…

  • Les citernes de Blandonnet situées aujourd’hui en plein cœur urbain sont-elles sûres pour les habitants, employés et milliers de personnes qui les côtoient quotidiennement ?
  • Sachant que le risque existe, quel est-il ?
  • Peut-on les déplacer, une étude a déjà répondu par l’affirmative, pourquoi ne le fait-on pas ?

Textes parlementaires, municipaux, interpellations, etc.  n’ayant permis d’obtenir au mieux que des réponses partielles aux questions susmentionnées, le 1er février,

  1. Une initiative communale était lancée pour demander moins de citernes pour plus de sécurité pour les habitants de Vernier.
  2. Un courrier partait aux autorités cantonales pour demander l’organisation d’une table ronde réunissant tous les acteurs afin d’informer la population sur les risques et les possibilités de déplacement des citernes de Blandonnet.

Résultat :

  1. L’initiative a réuni quelques 800 signatures, insuffisant pour la déposer, largement suffisant pour témoigner  de l’intérêt et de l’inquiétude légitime de la population. Le 1er avril, l’initiative s’est muée en pétition déposée à l’attention du Conseil municipal de Vernier.
  2. Le 4 avril, enfin, la réponse de la conseillère d’Etat (datée du 29 mars) arrive. Elle prend bonne note de ma demande d’organiser une table ronde et porte à ma connaissance qu’une commission, Carbura-Vernier, aura lieu (comme chaque année depuis 20 ans) et qu’il conviendrait de porter à l’ordre du jour de cette commission mes préoccupations. Le jour même, j’ai donc effectué la demande en question.

Le 12 avril aura lieu la séance du conseil municipal et le 11 mai la réunion Carbura-Vernier. D’ici là, à moins d’un tsunami, la patience est de mise à l’ombre des citernes.

Communiqué de presse du 1er avril 2011

Communiqué de presse du 24 février 2011

Blog du 25 février 2011

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