En Pologne et autres pays de l’Est, les bergers n’abandonnent pas leurs moutons, ils vivent avec. Les ours et les loups, ils les connaissent, s’adaptent et acceptent leurs conditions de berger. Il est grand temps que nos paysans fassent de même plutôt que de poser des pièges empoisonnés. Serions-nous à tel point intolérants, qu’il n’y ait pas de place pour un seul ours en Suisse ? Sauvons M13 et avec lui le peu de nature sauvage qu’il nous reste. Signez l’initiative Pour la protection des grands prédateurs (ours, loup et lynx).
Les hasards de l’actualité:
Entre la visite d’un ours à l’école dans les Grisons et celle des dealers à l’école à Genève, je prèfère et de loin celle du plantigrade ! Pas vous?
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