Freysinger et le Pôv’nounours

Les Grisons ne veulent plus des ours

Repousser ces étrangers plantigrades hors du pays,  c’est chasser le rêve d’une nature un tant soit peu sauvage aux confins du Trentin. Triste destin pour nounours au pays de Heidi. La place est prise par l’Homme qui veut tout réguler sauf son propre nombre. Après le loup, l’ours ? C’en est trop pour mon collègue Freysinger, qui vole au secours des Grisons et prône le permis de tuer avant que l’ours ne tue, aberrant mais loin d’être étonnant de la part d’un valaisan !

Oskar, toi qui est si nature, faut pas être rétrograde. A la vice présidence de l’UDC, je compte sur toi pour défendre nos amis à 2 pattes et même ceux à 4 pattes, dussent-ils être plantigrades !

5.5.2012

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